Protecteur et passionné, deux traits de caractère du Catalan qui n’entend pas changer sa façon d’être en 2022. Avec ses joueurs, mais aussi face à la presse et aux supporters.
Article réservé aux abonnésPar Jonas Bernard Temps de lecture: 2 minVous renvoyez l’image d’un sélectionneur ultra protecteur avec ses joueurs. Mais le Roberto Martinez du vestiaire est-il le même face aux médias ?
J’ai une position privilégiée qui me permet d’être un témoin direct de l’engagement de mes joueurs, lorsqu’ils viennent aux rassemblements. Quand celui-ci est total, je n’accepte pas forcément qu’ils soient critiqués. Si un joueur n’a pas la bonne attitude, il est rapidement écarté du groupe des Diables. Ce n’est pas un attachement à mes joueurs et je peux d’ailleurs être très critique, aussi, envers eux. Mais tant que je croirai en eux, alors je les supporterai toujours. Dans le vestiaire, je suis le même mais il y a parfois des moments d’émotions incontrôlées. Ce sont des instants que je ne veux pas partager avec les médias, lorsqu’il faut davantage être dans la maîtrise
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